Dernier concert lors de notre séjour parisien, c'est la belle et talentueuse Ellie Goulding qui allait fermer le bal. Avec son dernier et deuxième opus, la jeune britannique sillonne les routes du monde pour présenter son "Halcyon Tour". Et fort chanceux que nous sommes, sa première partie était assurée par Charli XCX et un certain Matthew Koma (visiblement connu pour être le boyfriend de Carly Rae Jepsen). C'est donc avec excitation et joie que nous nous rendions au Bataclan, une des plus grandes salles du centre de Paris (environ 1500 places).
Arrivé 19h30, une file se dessine déjà au loin sur le trottoir. Le public parisien est visiblement venu nombreux pour applaudir Ellie, pourtant encore trop peu connue des français. On entre, on s'installe, le Bataclan est déjà bien rempli. Matthew Koma est déjà sur scène, il chante... Ou plutôt il nous atomise les tympans. C'est faux, c'est fort, ça pourrait même réveiller un mort (pour le re-tuer une seconde fois). Nous n'avons ni cherché à comprendre, ni à apprécier. Cher Matthew, nous ne te connaissons pas, mais tu n'as visiblement pas la hype en toi. Puis nous n'étions là que pour nos deux princesses britanniques.
Puis vers 20h15, c'est au tour de la petite Charli XCX de monter sur scène. Loin d'être timide, la jeune femme débarque avec sa jupe écossaise, son haut brillant et sa tignasse brune. C'est too much, voir un peu de mauvais goût, mais elle est comme ça Charli, crazy dans l'âme. On s'étonne du fait que le public la connaisse et hurle son nom haut et fort. On écoute, discrètement... Tous nos voisins parlent anglais (ou presque), c'est donc pour ça! La 90's girl (comme on aime l'appeler) se déhanche alors, telle Britney Spears en 97, un peu stone, un peu ailleurs. Elle nous interprète ses derniers singles "Stay Away", "You're The One", "Nuclear Seasons", "You (Ha Ha Ha)" ou encore "What I Like". Nous aurons même droit à la version solo de sa collaboration avec les nordiques Icona Pop sur "I Love It". Un moment fun où Charli nous aura donné ce que nous attendions d'elle. Un peu je-m'enfoutiste, je suis une rock star, je gueule et je secoue mes cheveux. Hot Girl!
Installation du matériel utile à Ellie, 21h pointe le bout de son nez et le public commence à scander son nom. Tout le monde l'attend. Ses 4 musiciens prennent place, puis elle arrive... de marbre. Elle commence avec "Don't Say A Word", première piste de son dernier album. Parfait pour rentrer dans l'ambiance. Mais une chose nous dérange déjà. Pas un sourire, pas un bonjour. Puis les qualités acoustiques de la salle commencent à nous montrer leurs limites. La voix d'Ellie est pourtant là, si particulière mais si belle. Maîtrisée et pure. La déception nous prend déjà dans ses bras. Les titres s'enchaînent. Comme un manutentionnaire travaille à la chaîne, elle balance ses titres sans aucune interaction... On est déjà triste.
Puis lors de sa quatrième ou cinquième piste (nous ne savons plus trop), c'est sur "JOY", qu'elle se libère. Fin de la frayeur. Elle nous salue, nous sourit, nous raconte l'histoire de ce titre (important pour elle), qu'elle aime Paris... Ah! Qu'elle est belle. Elle nous rassure. Finalement Ellie est bavarde, elle parle, parle, parle. Elle a juste voulu nous effrayer avec son entrée en scène. Elle boit aussi (de l'eau Cristalline), beaucoup. Le train est lancé, elle interprète les meilleurs titres de son deuxième opus ("Only You", "My Blood", "Figure 8", "Anything Could Happen"...). Dans sa veste à paillettes scintillante, elle prend même le temps de ré-arranger certain de ses titres pour le live. Elle lâche ses percussions, prend sa guitare et se retrouve seule sur scène, face à son public avec "Guns & Horses".
Son pianiste la rejoint enfin pour un moment acoustique avec notamment un piano/voix sur "Your Song (Elton John cover)". Silence dans la salle, frissons dans notre dos. Elle fait son job et elle le fait magnifiquement bien. Après ce doux moment, elle nous rebalance son énergie en pleine face. 1h30 de show se terminant en beauté avec "I Need Your Love" et le désormais mythique "Lights". Public en liesse, intensité du live, généreuse et simple, Ellie Goulding a été une incroyable surprise. A revoir dans le futur.
Review of the parisian Ellie Goulding's live at Le Bataclan.
Perfect voice, perfect energy! Generous and talented!
Puis lors de sa quatrième ou cinquième piste (nous ne savons plus trop), c'est sur "JOY", qu'elle se libère. Fin de la frayeur. Elle nous salue, nous sourit, nous raconte l'histoire de ce titre (important pour elle), qu'elle aime Paris... Ah! Qu'elle est belle. Elle nous rassure. Finalement Ellie est bavarde, elle parle, parle, parle. Elle a juste voulu nous effrayer avec son entrée en scène. Elle boit aussi (de l'eau Cristalline), beaucoup. Le train est lancé, elle interprète les meilleurs titres de son deuxième opus ("Only You", "My Blood", "Figure 8", "Anything Could Happen"...). Dans sa veste à paillettes scintillante, elle prend même le temps de ré-arranger certain de ses titres pour le live. Elle lâche ses percussions, prend sa guitare et se retrouve seule sur scène, face à son public avec "Guns & Horses".
Son pianiste la rejoint enfin pour un moment acoustique avec notamment un piano/voix sur "Your Song (Elton John cover)". Silence dans la salle, frissons dans notre dos. Elle fait son job et elle le fait magnifiquement bien. Après ce doux moment, elle nous rebalance son énergie en pleine face. 1h30 de show se terminant en beauté avec "I Need Your Love" et le désormais mythique "Lights". Public en liesse, intensité du live, généreuse et simple, Ellie Goulding a été une incroyable surprise. A revoir dans le futur.
Review of the parisian Ellie Goulding's live at Le Bataclan.
Perfect voice, perfect energy! Generous and talented!
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