C'est un peu par hasard (et avec énormément de chance) que nous avons réussi à assister au premier concert parisien de Jessie Ware (réellement deuxième si l'on compte sa venue au Festival Pitchfork en novembre 2012). Excitation et envie de voir ce que vaut la jeune anglaise sur scène. Ils sont nombreux les parisiens à avoir fait le déplacement pour découvrir "Devotion", premier album de Jessie Ware, en live. Des parisiens (mal élevés -quoi de plus normal-), des britanniques, des allemands, l'Europe tout entière est dans le Nouveau Casino.
Vers 20h le show commence, avec une première partie qui attire notre oreille...
Sankka, artiste français qui évolue seul sur scène (ou presque). Un Mac, un launchpad (table de mixage), une guitare électrique, une bouteille en verre accompagnée d'une baguette de batterie et le jeune homme arrive à plonger tout doucement (mais timidement) les spectateurs dans l'atmosphère. Les titres sont plutôt longs, mais cela ne nous dérange pas au contraire. Une pop aérienne, ficelée artisanalement, bucolique. C'est beau et c'est planant. On pense tout de suite à Frank Ocean (dans la manière qu'il a d’interpréter ses titres et de mener ses compositions). Après un accueil froid (voir glacial), Sankka semble avoir réussi à conquérir le public, nous les premiers [cliquez ici pour atterrir sur le soundcloud du garçon].
21h passé, c'est enfin le grand moment. Jessie Ware arrive, toute de noire vêtue, perchée sur des hauts talons. Son français est approximatif mais mignon, et pour faire original, elle aussi pense que "Paris is fantastic" et nous dévoile qu'elle est sa ville préférée. Elle débute avec "Devotion", première piste de son album (du même nom). L’acoustique est bonne, sa voix ne se perd pas dans la puissance sonore de ses musiciens, ouf! Nous savons déjà que nous allons passer une très bonne soirée. Les meilleures pistes de son opus s'enchaînent, "Still Love Me", "Night Light", "If You're Never Gonna Move"...
Elle prend le temps de s'adresser à son public, venu nombreux. Puis dévoile un nouveau titre, le très bon "Imagine It Was Us", titre inédit qui va lui servir à tenter une percée aux USA (à réécouter ici sur notre blog). D'ailleurs, Jessie nous dévoile que le clip est prêt et qu'il ne devrait pas tarder...
Puis vient le tour de "Sweet Talk" et de "la" cover de la soirée. Cover qu'elle a interprété lors du Live Lounge sur BBC Radio 1. Réinterprétation personnelle du hit de Rihanna, "Diamonds". Oui c'est beau...
Le live se poursuit, Jessie nous propose les titres restants sur son album, "Taking Water", "No To Love", une ancienne chanson "Valentine" et une nouvelle cover. Avec un peu moins d'1h30 de show, c'est sur l'excellent "Wildest Moments" et "Running" qu'elle conclut sa venue à Paris. Un beau moment simple comme on les aime aussi. Généreuse, professionnelle, Jessie Ware maîtrise et nous le prouve avec sa playlist parfaitement adaptée sur scène. Un de nos meilleurs live de l'année. Un regret? Aucun.
Review of the parisian Jessie Ware's concert at Le Nouveau Casino
Beautiful moment!
Sankka, artiste français qui évolue seul sur scène (ou presque). Un Mac, un launchpad (table de mixage), une guitare électrique, une bouteille en verre accompagnée d'une baguette de batterie et le jeune homme arrive à plonger tout doucement (mais timidement) les spectateurs dans l'atmosphère. Les titres sont plutôt longs, mais cela ne nous dérange pas au contraire. Une pop aérienne, ficelée artisanalement, bucolique. C'est beau et c'est planant. On pense tout de suite à Frank Ocean (dans la manière qu'il a d’interpréter ses titres et de mener ses compositions). Après un accueil froid (voir glacial), Sankka semble avoir réussi à conquérir le public, nous les premiers [cliquez ici pour atterrir sur le soundcloud du garçon].
21h passé, c'est enfin le grand moment. Jessie Ware arrive, toute de noire vêtue, perchée sur des hauts talons. Son français est approximatif mais mignon, et pour faire original, elle aussi pense que "Paris is fantastic" et nous dévoile qu'elle est sa ville préférée. Elle débute avec "Devotion", première piste de son album (du même nom). L’acoustique est bonne, sa voix ne se perd pas dans la puissance sonore de ses musiciens, ouf! Nous savons déjà que nous allons passer une très bonne soirée. Les meilleures pistes de son opus s'enchaînent, "Still Love Me", "Night Light", "If You're Never Gonna Move"...
Elle prend le temps de s'adresser à son public, venu nombreux. Puis dévoile un nouveau titre, le très bon "Imagine It Was Us", titre inédit qui va lui servir à tenter une percée aux USA (à réécouter ici sur notre blog). D'ailleurs, Jessie nous dévoile que le clip est prêt et qu'il ne devrait pas tarder...
Puis vient le tour de "Sweet Talk" et de "la" cover de la soirée. Cover qu'elle a interprété lors du Live Lounge sur BBC Radio 1. Réinterprétation personnelle du hit de Rihanna, "Diamonds". Oui c'est beau...
Le live se poursuit, Jessie nous propose les titres restants sur son album, "Taking Water", "No To Love", une ancienne chanson "Valentine" et une nouvelle cover. Avec un peu moins d'1h30 de show, c'est sur l'excellent "Wildest Moments" et "Running" qu'elle conclut sa venue à Paris. Un beau moment simple comme on les aime aussi. Généreuse, professionnelle, Jessie Ware maîtrise et nous le prouve avec sa playlist parfaitement adaptée sur scène. Un de nos meilleurs live de l'année. Un regret? Aucun.
Review of the parisian Jessie Ware's concert at Le Nouveau Casino
Beautiful moment!
hann vous avez trop de chance
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